Chez Madame Bovary l’on trouve du thé et des pâtisseries évidemment, des chocolats chauds et des livres certes, mais ce n’est pas tout.
Du nouveau dans la déco?
Si vous promenez votre regard sur les différentes étagères, vous remarquerez peut-être qu’à proximité des assiettes et des tasses en porcelaine, se trouvent deux curieuses boîtes. Regardez-les. Elles ont des choses à nous dire, elles vous donnent quelques indices. Dans l’une, entrouverte, vous pouvez apercevoir un fou, un cavalier, une reine peut-être. Alors que l’inscription gravée dans le bois de la seconde dissipe tout mystère éventuel : « Jeux de société ». Si vous ouvrez cette boîte de Pandore, ce n’est pas un flot de maux que vous risquez de répandre dans le salon de thé mais plutôt un parfum d’enfance. Les petits chevaux… les dames… le jeu de l’oie. Qui a dit « madeleine de Proust » ? Si pour accompagner votre partie, vous commandez un chocolat chaud, épais pour les plus gourmands, et du pain perdu, la régression, oh combien délicieuse ! , est absolue.
Le mystère révélé
Chez Madame Bovary, chaque coffret, chaque sachet renferme un souvenir d’enfance. Si vous avez choisi de vous installer dans les fauteuils proches du comptoir, un peu en retrait, pour un instant intime et cosy, vous ne manquerez pas de poser votre regard sur le jeu de cartes ou les dominos posés sur la vieille machine à coudre, aux côtés de la lampe. Et ce n’est pas tout. Il n’est en effet pas impossible de rencontrer, alors que vous cherchez un livre, un souvenir de jeunesse grâce au nain jaune qui trône au sommet du petit escabeau de bois. Pourquoi l’ai-je posé là? Peut-être parce qu’il me rappelle les bons moments passés avec mon petit frère et ma grande sœur autour de ce jeu de cartes, et qu’il occupe une place particulière dans ma mémoire comme sur cet escabeau.
Et pour vous, quel serait le jeu régressif par excellence ?